Partage d'expérience : stage au sein du pôle attaché de presse à l'Élysée
Gabriel est étudiant en deuxième année à l’EFAP Paris. Il réalise un stage en tant qu'assistant attaché de presse à l’Élysée.
Comment avez-vous trouvé votre stage d'assistant attaché de presse ?
J’ai envoyé une candidature spontanée à l’ancien directeur de la communication, Sylvain Fort, puis j’ai eu un entretien avec Pauline Calmès, la chef du service presse.
Pouvez-vous nous présenter le service en quelques mots ?
Il est organisé en trois pôles : le pôle attachés de presse qui compte huit collaborateurs spécialisés par thème, le pôle organisation qui s’occupe de la logistique des évènements et le pôle veille. Le service supervise les relations presse du Président, mais aussi celles de la Première dame en lien avec son cabinet, du chef des cuisines, du Palais et de son histoire.
Quelles sont vos missions ?
Elles sont très variées ! En appui des attachés de presse, je rédige des notes aux rédactions relatives à l’agenda du Président, m’occupe des journalistes sur un déplacement, participe aux briefings sur les sujets d’actualité... Par exemple, dans le cadre du grand débat national, j’ai fait les déplacements à Grand-Bourgtheroulde dans l’Eure et à Évry-Courcouronnes dans l’Essonne, depuis la reconnaissance des lieux en amont jusqu’à l’orientation des journalistes le jour J.
Que préférez-vous dans votre stage en tant qu'assistant attaché de presse ?
Les déplacements ! Pour le contact direct et la rencontre avec les journalistes et parce que cela permet de voir autre chose, de prendre le pouls sur le terrain, de mettre en pratique ce sur quoi on travaille. J’aime aussi le fait de travailler en transverse avec les autres services : la communication digitale ou le protocole et la sécurité pour les évènements. L’ambiance est agréable, les gens sont simples et bienveillants, pas de hiérarchies rigides ni d’egos disproportionnés ! Idem avec les journalistes, les relations se passent bien.
Qu’est-ce qui est motivant pour vous dans cette expérience ?
C’est assez excitant d’aborder des thèmes et champs d’action très variés. Un jour, on travaille sur l’agriculture, le lendemain, sur les affaires étrangères ou la défense. Et puis surtout, on travaille pour l’intérêt général et ça, c’est très gratifiant !
Que voulez-vous faire après votre formation ?
Je ne sais pas encore où ni comment mais j’aimerais travailler dans la communication d’influence, publique ou politique. C’est un intérêt qui est né durant mes années de lycée, lorsque je travaillais pour la campagne des primaires de Bruno Le Maire, et qui s’est renforcé pendant mon stage de première année à la direction du climat et de l’énergie du ministère de la Transition écologique et solidaire. J’y ai participé au lancement du plan climat, du plan hydrogène et du plan sur les énergies renouvelables ainsi qu’à la médiatisation des conclusions du groupe de travail sur le solaire !
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